autoportrait en viande de porc |
Et pour cause, cet artiste trentenaire tout aussi hongrois a travaillé comme graphic designer pour le sus-dit film (notamment la création de l'affiche japonaise, tiens donc).
Szerénke style |
Et c'est clair que la viande, on se la prend en pleine face! Et celle-là n'est pas plastinée. Un peu comme si Mary Shelley s'était penchée sur les clônes manqués de Ripley, au moins.
La réaction est épidermique, forcément. Et je n'imagine pas ce que cela doit donner quand on le voit en vrai. Avec Szerénke Style, par exemple, on apprend qu'il veut évoquer en un objet une société donnant lieu tant à des reconstructions esthétiques des grandes lèvres qu'à des mutilations génitales. Le résultat est puissant et dérangeant, indéniablement.
A côté de cela, ses oeuvres animalières plus proche de la tradition taxidermiste paraissent bien sages.
Je passe mon tour pour les autoportrait en viande de porc, en revanche, je signe des deux mains pour un pain zombie ♥
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